Notre papier sur la possibilité d’utiliser une spectroscopie à proximité infrarouge (NIRS) pour mesurer l’oxygénation musculaire in vivo dans les athlètes d’élite a maintenant été publiée avant l’impression par la médecine et la science dans le sport et l’exercice.
Cette étude est la première d’une série d’études constituant le doctorat financé par le BOA pour étudier la possibilité d’utiliser des NIRS sur le terrain en tant qu’outil pour comprendre les demandes de performance et les adaptations à la formation, ainsi que de développer des dispositifs de cerveau et de muscle portatifs innovants. . Le programme de recherche est une collaboration entre nous-mêmes, l’Université d’Essex avec le professeur Chris Cooper et le professeur Clare Elwell à University College London.
L’auteur principal de ce travail est Catherine Hesford et vous pouvez trouver beaucoup plus d’informations et de coordonnées ici.
Plus de travail seront publiés dans les prochains mois et j’écrirai beaucoup plus sur cette technique fascinante bientôt sur ce blog.
Les résumés sont disponibles ci-dessous.
Med SCI Sports Arros. 2011 septembre 3. [Epub devant l’impression]
Asymétrie de l’oxygénation musculaire quadriceps lors du patinage de vitesse d’élite courte piste.
Hesford CM, Linging S, Cardinale M, Cooper CE.
La source
1 Département des sciences biologiques, Université d’Essex, Royaume-Uni; 2 Institut médical olympique britannique, University College London, Royaume-Uni; 3 Université d’Aberdeen, School of Medical Sciences, Aberdeen, Scotland (Royaume-Uni), 4 Sciences de l’École de sport, de santé et d’exercice, Bangor University, Royaume-Uni.
Abstrait
BUT:
Il a été suggéré qu’en raison de la position basse assise en patinage à vitesse courte, le flux sanguin musculaire est limité, entraînant une diminution de l’oxygénation des tissus. Pour cette raison, la technologie de spectroscopie infrarouge entièrement sans fil (NIRS) est utilisée pour surveiller les modifications apportées au volume sanguin musculaire quadriceps et à l’oxygénation pendant la simulation de course de 500 m dans des patineurs de vitesse à court terme.
Méthodes:
6 patineurs d’élite, tous olympiques conventionnels (Âge = 23 ± 1,8 ans, hauteur de 1,8 ± 0,1 m, masse = 80,1 ± 5,7 kg, épaisseur de la peau de la cuisson mi-cuissante = 6,8 ± 2,2 mm) ont été étudiées. Les sujets ont rempli une période de temps de simulation de course de 500 m (TT). La consommation d’oxygène du corps entier était à la fois mesurée avec de l’oxygénation musculaire de la meilleure et de la partie latéralis de Vastus, mesurée par des NIRs.
RÉSULTATS:
Le délai moyen pour la fin de la race était de 44,8 ± 0,4 s. Vo a culminé 20 s dans la course. En revanche, la saturation de l’oxygène des tissus musculaires (TSI%) a diminué et plafonnée après 8s. L’analyse de la régression linéaire a montré que la meilleure jambe tsi% est restée constante tout au long du reste de la TT (valeur de pente = 0,01), tandis que la jambe gauche TSI% a renforcé régulièrement (valeur de pente = 0,16), entraînant une asymétrie importante (P <0,05) dans la dernier tour. Le volume de sang total musculaire a diminué de manière égale dans les deux jambes au début de la simulation. Cependant, au cours des tours ultérieurs, il y avait une asymétrie forte lors de virages; Lorsque des patineurs ont voyagé uniquement sur la meilleure jambe, il y avait une diminution de son volume sanguin musculaire alors qu'une augmentation a été observée dans la jambe gauche.
CONCLUSION:
Les NIRs étaient un outil viable pour la surveillance sans fil de l'oxygénation musculaire. L'asymétrie dans la désaturation musculaire observée sur les deux jambes du patinage de vitesse à court terme a des implications pour la formation et la performance.
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